23 juillet 2008
Note : 4/5
ISBN : 2266170694
Oui, bon, je sais, « La Mallorée », c’est 5 livres, pas un seul. Mais bon comme c’est une série, que les livres sont homogènes en qualité, que je suis une grosse feignasse, et que j’ai lu les 5 livres à toute berzingue, je m’octroie le droit d’écrire une seule page pour les 5 livres.
L’action se passe une dizaine d’années après la fin de la « Belgariade ». Garion se croyait débarrassé de l’Enfant des Ténèbres à tout jamais. Eh bien non, il revient (enfin en première approximation).
Bref, tout est à refaire, le monde est encore à sauver.
On retrouve ici les personnages que l’on avait rencontré lors de la première série, et dont on a tant apprécié les traits de caractère. On rencontre aussi quelques nouveaux, qui ne sont pas toujours ce qu’ils semblent être.
Bref, une bonne intrigue, un style percutant, et de l’humour, toujours de l’humour.
En résumé, une excellente série, tout à fait dans la veine de la « Belgariade ». A lire !
3 juin 2008
Note : 5/5
ISBN : 226604155X
Bon d’accord, j’ai sauté le tome 4 dans mes articles. Ce n’est pas parce que l’ai boudé ni sauté, il est juste aussi bon que les autres, mais je n’avais rien de particulier à en dire.
Ca y est, la saga est terminée, le monde est sauvé (je casse le suspens, mais on s’attendait un peu à cette fin).
Pour résumer ces 5 tomes : un monde où la magie est peu répandue, mais existe, un personnage qui va vivre son initiation d’adulte au cours des tomes, des personnages un peu stéréotypés, un quête, le monde à sauver. Jusque là, rien de bien original, me diras-tu, lecteur. Certes, c’est vrai ; mais c’est compter sans le style unique d’Eddings où un humour grinçant et féroce sous-tend l’ensemble de ces 5 tomes, et où les personnages d’abord monolithiques, nous montre des aspects cachés de leur psychologie (Belgarath est un monstre de complexité, par exemple).
Bref, cette série est absolument géniale (et je ne dis pas ça de toutes les séries de fantasy ni de toutes les oeuvres de Eddings). A lire absolument.
11 avril 2008
Note : 4/5
ISBN : 2266107496
On sent que le sort du monde entier repose dans ce petit groupe d’hommes et de femmes. OK, ça rappelle des trucs (oui, il y a une filiation Tolkenienne), mais il y a la même distance entre Tolkien et Eddings qu’entre un peplum des années 50 et la série TV Rome : avec Tolkien, on reste loin des personnages ; on les regarde, mais on ne s’investit pas sur eux, on ne s’identifie pas : ils restent tellement stéréotypées qu’on est obligé de garder une certaine distance.
Avec Eddings, c’est tout l’inverse : on participe réellement à l’action, et les personnages sont humains et attachants.
La Belgariade continue, et c’est pour mon plus grand plaisir …
24 mars 2008
Note : 4/5
ISBN : 2266033743
Quelques masques tombent: certains personnages sont loin de ce qu’ils semblaient être. Le héros, qui semblait légèrement en arrière plan, commence à prendre un rôle non-négligeable.
Toujours très agréable à lire, ce second tome de la Belgariade nous permet de faire connaissance un peu mieux avec les personnages.
Comme en ce moment, petit dernier me réveille au moins un fois par nuit sans possibilité de rendormissement immédiat, les pages tournent vite …
16 mars 2008
Note : 4/5
ISBN : 2266033751
Rha, du bon Eddings ! Enfin !
Ce livre est le premier d’une série, la Belgariade, qui m’a fait découvrir David Eddings ; avant de connaître Eddings, la fantasy, pour moi, c’était des histoires de nains irascibles, d’elfes étherés, de preux chevaliers et de sages sorciers.
Avec Eddings, les personnages sont avant tout humains. La trame est sérieuse (même si dans ce premier tome, on ne comprend pas encore vraiment ce qui se passe), mais l’humour est toujours présent.
Le premier livre de la meilleure série d’Eddings !
3 mars 2008
Note : 3/5
ISBN : 0446613320
A y est, la série des « Dreamers » est terminée. Le monde est sauvé, les gentils ont gagnés.
La fin est presque sans surprise.
C’est marrant, après avoir terminé cette série, j’ai eu envie de relire du bon Eddings (la Belgariade) ; j’ai retrouvé plein de points communs, rien qu’en lisant une vingtaine de pages…
Lecteur, si jamais tu n’as jamais lu de Eddings, commence par la Belgariade. Ce sera l’objet de mes prochains articles de lecture (pis derrière, faut enchaîner sur la Mallorée, puis Belgarath le sorcier et enfin Polgara la sorcière : ça fait 12 livres dans le « pipe » …)
20 février 2008
Note : 3/5
ISBN : 0446613312
Voici le tome 3 de la série des « Dreamers ». La série continue son petit bonhomme de chemin, selon un schéma conforme à ce que l’on attend : aucune suprise. Rien de transcendant dans ce tome 3, mais c’est quand même bien écrit (d’où le 3).
22 janvier 2008
Note : 3/5
ISBN : 0446613304
Voici donc le tome 2 de la série des « Dreamers » de David & Leigh Eddings. J’ai été très déçu par ce second tome …
Ce tome se découpe en deux parties : l’une reprend une partie de l’action du premier tome, vu du point de vue de certains personnages. Je pense que le but (au delà de faire du remplissage de pages) est de présenter un peu mieux les personnages après un premier tome plutôt enlevé.
La seconde partie décrit de nouvelles péripéties, mais qui sonnent plus comme une redite des aventures du premier tome que comme de nouvelles perspectives/évolutions/actions.
Bref, un second tome décevant, même si l’on retrouve les caractéristiques propres à Eddings : des personnages attachants et un humour aussi présent que discret.
J’espère que le tome trois (en cours de lecture) me fera changer d’idée sur cette série.
14 novembre 2007
Note : 4/5
ISBN : 2266170120
On m’a planqué mes « Eddings » ! Impossible de chercher un livre précis dans le foutoir actuel (on est en plein réaménagement de la partie bibliothèque). Je prends le premier petit livre acceptable qui me tombe sous la main, et voilà sur quoi je suis tombé.
Je connaissais de nom Georges Perec, et son appartenance au mouvement ‘Oulipo’ ; pour mémoire, c’est lui le fou qui a écrit « La disparition », roman qui ne contient pas une seule fois la lettre ‘E’.
Ce roman décrit le quotidien d’un couple éternel insatisfait de sa condition. Le style est minimaliste, les dialogues absents, et pourtant, on se sent entrainé, pris par la spirale de l’insatisfaction de ce couple dans lequel on se reconnait tous un peu.
Cécile a bien fait de me planquer mes « Eddings », mais je les ai retrouvé …
7 novembre 2007
Note : 3/5
ISBN : 0446613339
Et hop, voici le premier tome d’une « nouvelle » série : la série des « Dreamers ». On ne présente plus David Eddings, qui a commis quelques cycles fabuleux dont la Belgariade et la Mallorée. Ce qu’on apprend maintenant, c’est que son épouse Leigh contribue aussi à ses oeuvres, et qu’enfin, elle est mentionnée en tant que co-auteur.
La série commence doucement, avec une exposition de la situation : quelques (4) personnages aux pouvoirs étonnants, escortés pour certains de jeunes enfants, qui luttent contre un gros vilain (rien que son nom, déjà, montre que c’est le méchant : Vlagh).
On retrouve les ingrédients à la Eddings : un monde cohérent, des personnages attachants et humains. Juste un reproche : un manque de rythme pour ce premier volume. Les autres volumes sont à suivre …
