29 janvier 2006
Note : 4/5
ISBN : 2266155598
Voici le premier tome de la série « Elric » de Moorcock.
Que dire de Moorcock ? C’est un écrivain classique d’heroic-fantasy, qui a écrit plusieurs séries, donc plusieurs gravitent autour du thème du héros victime de son destin.
La série « Elric » est peut-être la plus réussie, avec un héros qui maîtrise encore une partie de ce qui lui arrive.
Dans ce premier épisode de la série, nous faisons connaissance avec Elric, empereur de Melniboné ; nous frémissons en lisant les trahisons de son cousin Yyrkoon, et nous sourions aux descriptions flatteuses de la belle Cymoril.
A lire …
26 janvier 2006
Il y a deux ans, j’ai acheté une Ducati Motro 800, neuve. J’avais essayé ce modèle et j’étais tombé sous le charme de la belle italienne, malgré la réputation de mauvaise fiabilité de la marque.
Deux ans plus tard, j’ai eu une immobilisation de une semaine suite à une fuite de liquide d’embrayage et à un soucis d’embrayage (ayant abouti au changement du plateau presseur), et une autre immobilisation d’une semaine dûe à une fuite d’huile au niveau du filtre et à un embrayage qui patine.
Cette moto est ma quatrième. C’est la seule avec laquelle j’ai eu des ennuis mécaniques.
La mostro est un régal à conduire, mais là, la coupe est pleine ! Dans quelques semaines, je me mets en quête de ma nouvelle moto ; japonaise exclusivement.
Addendum du 9/2/2006 : j’ai récupéré ma bécane il y a quelques jours ; les ressorts de l’embrayage ont été remplacés par des ressorts plus fort ; elle ne patine donc plus. Cette réparation n’a pas été prise en charge dans le cadre de la garantie, car « l’embrayage est une pièce d’usure » selon Ducati. Pendant presque deux semaines, j’ai donc utilisé la moto de ma femme, un Kawasaki VN 800. Je me suis rendu compte en retrouvant ma Mostro que c’était vraiment une bécane exceptionnelle, légère, vive, précise. Je lui donne donc encore une chance …
Eurostar, c’est un train.
Oui, mais c’est aussi le nom d’un diamantaire belge, qui a été plus rapide que la SNCF à dégainer son nom de domaine en .eu.
Voir l’article sur 01.
24 janvier 2006
Note : 3/5
ISBN : 2266107542
Voici un Barjavel atypique. D’ailleurs, est-ce un Barjavel ? En effet, il n’a pas été seul pour écrire ce roman, puisque l’astrologue irlandaise Olenka de Veer y a contribué.
Comment décrire ce roman ? C’est une saga familio-géographique, avec unité de sang et de lieu. La sang : celui de la licorne qui coule dans cette famille depuis de nombreux siècles. Le lieu : une île d’Irlande avec ses mystères.
Dans le genre, dont je ne suis pas fan, ce roman est assez réussi. Le rythme y est lent, mais cela convient bien à l’évocation de l’Irlande. On se perd un peu dans cette famille dans laquelle John est père de Johnattan et fils de Johnattan (vieille tradition familiale oblige).
Un roman dépaysant donc, à lire en prenant son temps.
20 janvier 2006
Ma femme vient de lancer son site http://www.ouiadeux.com, site communautaire sur le mariage.
Tiens, c’est curieux, c’est justement le salon du mariage à Toulouse … 😉
Lego annonce pour août 2006 la sortie de son produit « Lego Minstorms NXT ».
Au menu : des legos techniques, bien sûr, avec une pupuce pour piloter les différents moteurs et récupérer les infos des capteurs.
Jusque là, rien de nouveau, ca existait déjà (j’ai le Robotics Invention System 1.0 de Lego sur une armoire) ; mais là, les moteurs sont des moteurs pas à pas, les capteurs sont riches (ultrason, son, lumière et contact), la connectivité devient bestiale (USB et Bluetooth), et le processeur conséquent (un 32 bits s’il vous plait).
Le seul détail : 250$ (ouch !)
19 janvier 2006
Ca y est, je viens de réaliser un vieux fantasme : je me suis acheté une clarinette sur eBay.
Pour ceux qui ne me connaissent pas encore bien : je ne sais pas jouer de clarinette ; en revanche, je joue modestement de la flûte à bec (j’en ai quatre de différents formats, de la sopranino à la ténor), et j’ai quelques années de cours de chant derrière moi, ce qui aide pour le souffle.
Parce que pour la clarinette, il en faut, du souffle. C’est autre chose que la flûte à bec. Heureusement, pour les conseils de base, j’ai trouvé ce site.
J’arrive enfin à monter et descendre ma première gamme (à quelques couacs prêts) ; j’ai maintenant la lèvre inférieure anesthésiée, et je découvre des sensations inconnues de fatigue au niveau de la bouche.
Pas grave, je recommence demain …
16 janvier 2006
Ca y est, les premiers sites internet avec une extension .eu font leur apparition : http://www.eurid.eu
Source : http://www.application-servers.com
Note : 3/5
ISBN : 2070362388
Ma première recontre avec Barjavel date d’une dizaine d’années. Un ami m’avait conseillé « La nuit des temps ». Un soir, j’ai entamé le livre. Quelques heures plus tard, je le refermais : pris par cette magnifique histoire, je n’avais pas vu le temps passer : je l’avais lu d’une seule traite. C’était le premier livre (et le dernier en date) à m’avoir pris au point de le lire intégralement sans la moindre pose.
Par la suite, j’ai également lu « Le grand secret » qui, sans m’avoir touché au point de « La nuit des temps », m’a laissé un grand souvenir.
Récemment, j’ai donc repris ma « Barjavelmania » en achetant « Ravage » et « Les dames à la licorne ». Et j’avoue avoir été déçu. Je n’ai pas retrouvé ici les ingrédients qui m’ont fait vibrer dans les autres livres de cet auteur. La situation initiale est pourtant forte (tout ce qui, dans le monde, utilise l’électricité ne fonctionne plus), mais les personnages sont trop stéréotypés ; entre la pauvre fille qui attrape la grosse tête suite à ses succès médiatiques, et qui repousse son amour de toujours pour se mettre avec son producteur, et son ex-fiancé qui lui pardonne et qui finit par la retrouver, cette histoire d’amour mièvre détruit l’atmosphère terrible de ce roman.
Barjarvel ne peut s’empêcher ici de tomber dans le piège de la science-fiction pour elle-même (les cadavres des ancêtres conservés dans les appartements) et dans les clichés post-apocalyptiques sordides (le choléra ayant emporté un majorité de femmes, la polygamie est instaurée afin de repeupler au plus vite notre douce planète revenue à l’age du bronze).
Bon, ça reste quand même du Barjarvel, donc ça se lit très bien. Mais si vous n’avez jamais lu de Barjavel, commencez par « La nuit des temps » ; et si vous voulez lire des romans post-apocalyptiques, lisez « Le grand silence » de Silverberg.